Je suis Amélie DUMONT – Naturopathe et Doula – créatrice du podcast Dans le ventre des femmes.
Trois ans. Trois années de combat, d’espoir et de désespoir. Elodie rêvait d’un deuxième enfant. Pourtant, son corps semblait lui dire non. Après une césarienne d’urgence compliquée, son utérus portait les cicatrices d’adhérences qui compromettaient ses chances de tomber enceinte naturellement. Les médecins parlaient de PMA, d’hormones, de protocoles lourds. Elodie, elle, oscillait entre peur et épuisement.
Aujourd’hui, elle berce sa petite fille d’un an. Son parcours ? Une véritable transformation intérieure qui prouve qu’il est possible de retrouver sa fertilité en prenant soin de son corps dans sa globalité. Voici son histoire inspirante.
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Quand le corps dit stop : les adhérences utérines
Un diagnostic qui fait peur
Après son premier accouchement, Elodie développe ce qu’on appelle des synéchies utérines. Ces adhérences, aussi appelées syndrome d’Asherman, représentent la première ou deuxième cause d’infertilité secondaire. En effet, lorsque l’utérus subit une intervention chirurgicale, il peut créer une plaie qui fait coller les membranes entre elles.
Pour Elodie, le diagnostic tombe après qu’elle ressente des douleurs inhabituelles à l’ovulation. Les examens révèlent alors cette excroissance qui compromet ses chances de concevoir à nouveau. Le parcours médical s’enclenche : quatre opérations en deux ans pour tenter d’enlever ces adhérences récalcitrantes.
Le cercle vicieux des opérations
Pourtant, chaque intervention crée une nouvelle plaie. Celle-ci génère à son tour de nouvelles adhérences. C’est un véritable cercle vicieux. De plus, les multiples opérations affaiblissent considérablement l’endomètre. Les règles d’Elodie passent de 4-5 jours à peine un jour ou deux, avec un flux très faible.
Psychologiquement, le choc est brutal. Elodie perd espoir. Elle s’affaiblit progressivement. Son énergie vitale s’effondre. Tout devient centré sur cette obsession : avoir un deuxième enfant. Néanmoins, plus elle se bat, plus elle s’épuise.
La déprime qui accompagne l’infertilité
Trois ans d’enfer
Elodie qualifie elle-même cette période « d’enfer ». Pendant trois ans, elle ne pense plus qu’à ça. Par conséquent, elle perd de l’énergie, de la vitalité, de l’entrain pour tout. Son couple trinque également. Les tensions s’accumulent. Les rapports intimes deviennent mécaniques, centrés uniquement sur la période d’ovulation.
« Je me suis rendue compte que je n’étais pas en état de concevoir. J’étais mal dans ma peau et je n’avais plus d’énergie », confie-t-elle aujourd’hui avec du recul.
Quand la PMA devient l’unique option
Les médecins orientent naturellement Elodie vers la PMA. Ainsi, ils lui conseillent fortement de partir en procréation médicalement assistée dès septembre. L’idée ? Prendre de grosses doses d’hormones pour compenser son endomètre fragilisé et maximiser ses chances.
Cependant, Elodie hésite. Son compagnon n’est pas emballé. Il souhaite qu’elle prenne le temps, qu’elle lâche prise. De plus, ils sont en pleine construction de maison. Le timing semble compliqué.
Le tournant : consulter une naturopathe
À la recherche d’un remède miracle
En juin, cinq mois avant la conception, Elodie consulte Amélie Dumont, naturopathe et doula. Elle arrive avec une demande très précise : trouver une plante ou un remède pour épaissir son endomètre et tomber enceinte naturellement. Son objectif est fixé, son esprit focalisé uniquement sur son utérus.
Néanmoins, Amélie lui propose une approche radicalement différente. Elle explique qu’il faut d’abord détoxifier le corps entier, rééquilibrer le terrain, nourrir l’organisme en profondeur. Ensuite seulement, on pourra s’occuper spécifiquement de l’utérus.
Le dilemme : PMA ou protocole naturel ?
Le choix est cornélien. D’un côté, la PMA offre une solution rapide avec un encadrement médical. De l’autre, le protocole naturopathique demande du temps, de l’investissement et sans garantie de résultat.
Elodie décide finalement de se donner trois mois. Trois mois pour essayer autrement. Trois mois pendant lesquels elle ne prendra aucune hormone. Chaque mois, pourtant, elle repousse l’appel à la PMA. Chaque cycle, elle négocie avec elle-même un délai supplémentaire.
La révolution alimentaire
Repenser complètement son assiette
Elodie pensait bien manger. Elle achetait bio, cuisinait beaucoup. Pourtant, elle découvre que ce n’est pas suffisant. La naturopathie lui révèle l’importance de comment manger, pas seulement quoi manger.
Premier changement majeur : arrêter les fruits en dessert. Ce simple ajustement transforme ses après-midi. Fini les ballonnements et la fatigue post-repas. Ensuite, elle rééquilibre ses assiettes en donnant la priorité aux légumes plutôt qu’aux féculents.
Les ajustements concrets
Progressivement, Elodie réduit considérablement le gluten et supprime le sucre blanc. Elle conserve néanmoins les fruits, qu’elle adore. Chaque matin, elle prépare avec son fils un jus de légumes à l’extracteur. Ce moment devient un rituel joyeux et nourrissant.
Au début, son compagnon résiste un peu. Plus de pâtes tous les deux jours ? Difficile. Cependant, les résultats parlent d’eux-mêmes : il perd 7 kilos sans effort et se sent mieux. Leur fils, sujet aux otites à répétition, en fait beaucoup moins cette année-là.
Les intestins, clé de la fertilité
Résoudre les troubles digestifs
Elodie souffrait de constipation chronique depuis toujours. Elle ne faisait d’ailleurs aucun lien entre ses intestins et sa fertilité. Pourtant, Amélie lui explique que lorsque le transit ne fonctionne pas bien, l’assimilation des nutriments est compromise. De plus, le corps manque d’énergie pour se régénérer.
Grâce aux compléments intestinaux et aux changements alimentaires, Elodie voit la différence en un mois et demi. Son transit s’améliore spectaculairement. Incroyable pour elle qui n’avait jamais connu ça.
L’énergie qui revient
Cette amélioration digestive déclenche un effet domino positif. Elodie ressent davantage d’énergie. Elle se remet au sport. Elle a envie de faire des choses intéressantes. Ainsi, tout son corps se remet progressivement en mouvement.
« Je sentais que mon corps se régénérait. Tout se remettait en place », explique-t-elle.
Prendre soin de son utérus autrement
Les cataplasmes et les vapeurs intimes
Pendant les trois premiers mois, le protocole se concentre sur la détox globale. Ensuite, Elodie peut commencer à s’occuper plus spécifiquement de son utérus. Cependant, pas avec des plantes en interne immédiatement, mais par l’extérieur.
Elle pratique régulièrement des bains de vapeur intimes et des cataplasmes d’huile de ricin sur le bas-ventre. Ces rituels lui font énormément de bien. Ils lui permettent de se reconnecter à cette zone fragilisée par les opérations. Par conséquent, elle redonne de la chaleur, de l’attention et de la douceur à son utérus.
« C’était ressourçant. Ça me faisait prendre conscience de la chaleur en bas-ventre. Ça me redonnait de l’énergie », se souvient-elle.
Les plantes pour rééquilibrer les hormones
À partir de mi-août, soit deux mois avant la conception, le protocole s’intensifie. Elodie commence à prendre des tisanes pour rééquilibrer ses hormones. Elle boit des litres de tisanes à base de différentes plantes.
Elle découvre alors une différence fondamentale : les hormones de synthèse agissent vite pour un but précis. Les plantes, elles, régulent l’ensemble du système hormonal sur le long terme. Ainsi, elles travaillent en profondeur plutôt qu’en surface.
Les compléments alimentaires qui changent tout
Les oméga-3, un miracle capillaire
Parmi tous les compléments, les oméga-3 marquent particulièrement Elodie. En effet, elle perdait beaucoup de cheveux, symptôme de son épuisement général. En seulement 15 jours de complémentation, elle observe déjà une différence spectaculaire.
La chute de cheveux diminue drastiquement. Sa peau s’améliore. Elle ressent également un regain d’énergie. Aujourd’hui encore, elle continue de se complémenter en oméga-3.
L’eau de Quinton pour se ressourcer
Elodie fait aussi beaucoup de crises d’angoisse pendant cette période. Elle pleure énormément, se dévitalise rapidement. L’eau de Quinton devient alors son alliée précieuse pour tomber enceinte naturellement.
« Ça me ressourçait, ça me réconfortait. Ça me remettait en forme beaucoup plus vite qu’avant », témoigne-t-elle. Elle continue d’ailleurs d’en prendre régulièrement pendant sa grossesse.
L’implication du conjoint
Un protocole allégé mais essentiel
Pendant qu’Elodie se lance dans un protocole intensif de cinq mois, son compagnon suit lui aussi un programme. Certes, beaucoup plus léger : seulement deux mois de complémentation. Néanmoins, cet effort commun s’avère crucial.
Les analyses de fertilité de son conjoint n’étaient pas excellentes. Pas catastrophiques, mais pas optimales non plus. Donc, en prenant quelques compléments comme des germes de blé et d’autres nutriments essentiels, il optimise lui aussi ses chances.
Convaincre sans forcer
Au départ, le compagnon d’Elodie n’est pas du tout emballé. Les médecins, ce n’est déjà pas son truc. Alors, avaler des gélules de compléments alimentaires… Pourtant, en voyant tous les efforts qu’Elodie déploie, il accepte finalement de participer.
Elodie lui prépare ses gélules quotidiennes. Elle installe également un filtre sur le robinet pour améliorer la qualité de l’eau. Toute la famille en bénéficie. C’est un ensemble de petits changements qui, cumulés, font la différence.
Le travail émotionnel et mental
Les méditations de Joe Dispenza
En parallèle de tout ce travail physique, Elodie s’engage profondément dans un travail mental. Elle pratique depuis deux ans les méditations de Joe Dispenza. Cet auteur américain explore le pouvoir de la pensée sur le corps.
Ces méditations l’aident à visualiser sa grossesse, à imaginer son bébé, à créer une réalité différente dans son esprit. « Tout ce que j’avais imaginé via mes méditations s’est passé. On peut influencer les choses par la pensée », confie-t-elle.
Le travail en kinésiologie
Elodie consulte également une kinésiologue pour travailler sur ses peurs et ses blocages émotionnels. Ensemble, elles explorent les héritages transgénérationnels, les croyances limitantes qui pourraient freiner sa fertilité.
Ce travail émotionnel s’avère complémentaire au protocole physique. Car tomber enceinte naturellement ne dépend pas seulement du corps. L’esprit joue un rôle fondamental dans cette équation.
Le lâcher-prise salvateur
Quand la vie s’ouvre à nouveau
Vers septembre, un déclic se produit. Elodie commence à envisager sa vie autrement. Et si elle n’avait pas de deuxième enfant ? Ne pourrait-elle pas vivre une vie heureuse quand même ? Ces questions, autrefois impensables, émergent naturellement.
Elle se met à lire des BD, rencontre de nouvelles personnes lors d’un mariage dans le sud. Ainsi, elle s’ouvre à d’autres possibilités. Son obsession diminue progressivement. Elle respire à nouveau.
Le couple retrouve sa tendresse
Ce lâcher-prise transforme également l’intimité du couple. Les rapports ne sont plus mécaniques, centrés sur l’ovulation. Ils redeviennent tendres, spontanés, vivants. Elodie et son compagnon savent exactement quand leur bébé a été conçu : lors d’un moment de véritable connexion.
« Quand on est focus uniquement sur la conception, je pense qu’on se ferme des portes », explique Elodie avec sagesse.
La conception miraculeuse
Mi-octobre : le test positif
Finalement, mi-octobre, soit cinq mois après le début du protocole naturopathique, Elodie tombe enceinte. Naturellement. Sans hormones. Sans PMA. Contre tous les pronostics médicaux qui lui donnaient 20% de chances seulement.
La nouvelle génère un mélange de joie intense et de peur panique. Après trois ans de combat, peut-elle vraiment y croire ? Son endomètre fragilisé tiendra-t-il ? Le premier trimestre devient une épreuve émotionnelle intense.
Ajuster le protocole pendant la grossesse
Dès la grossesse confirmée, Elodie et Amélie ajustent le protocole. Certaines plantes ne sont plus appropriées. D’autres, au contraire, soutiennent le corps pour maintenir la grossesse.
Elodie continue l’eau de Quinton pour nourrir son bébé. Elle prend également des compléments pour aider son utérus à bien tenir. Néanmoins, la peur ne la quitte pas immédiatement. Elle perd un peu de sang et panique. Le chemin vers la sérénité demande du temps.
Les leçons d’un parcours extraordinaire
Ne pas se réduire à un pourcentage
Elodie retient une leçon essentielle de son parcours : elle n’est pas un pourcentage. Les médecins lui ont dit tellement de choses contradictoires. Certains ont même affirmé qu’elle ne pourrait plus avoir d’enfants.
« L’être humain est unique. On ne sait pas ce qui viendra ou pas. Tout est possible », affirme-t-elle aujourd’hui. Même avec 20% de chances, pourquoi ne pas être dans ces 20% ? Cette conviction profonde l’a portée.
Le corps est capable de se régénérer
Son corps, qu’elle voyait comme « un bloc, une pierre qui n’allait plus bouger », s’est finalement régénéré. Cependant, cela a demandé du temps, de la patience et une approche globale. Pas un claquement de doigts, mais un cheminement progressif.
En prenant soin de son alimentation, de ses intestins, de ses émotions, de son utérus, Elodie a permis à son corps de retrouver sa capacité naturelle à concevoir.
L’importance du soutien professionnel
Elodie insiste sur l’accompagnement qu’elle a reçu. Sans Amélie pour la rassurer chaque mois, lui confirmer qu’elle était sur la bonne voie, elle aurait probablement abandonné. Le soutien d’une naturopathe spécialisée s’est révélé déterminant.
De même, le travail avec la kinésiologue et les méditations ont contribué à sa transformation. Car tomber enceinte naturellement après des adhérences utérines nécessite une approche véritablement holistique.
Charge mentale et organisation
Trouver du temps avec un enfant
Comment Elodie a-t-elle réussi à tout mettre en place avec un fils de 4 ans, un travail à temps partiel et une maison en construction ? Elle reconnaît que c’était intense. Pourtant, c’était gérable.
Elle se levait plus tôt pour préparer les jus de légumes avec son fils. Elle transformait la préparation des repas en moment ludique partagé. Le soir, dès que son enfant dormait, elle se consacrait à ses rituels de soins et à ses méditations.
Une question de priorité
« La télévision n’existait plus dans ma vie », raconte Elodie. Elle a fait le choix conscient de réorganiser ses priorités. Certes, c’était exigeant. Néanmoins, quand on veut vraiment quelque chose, on trouve les ressources.
Progressivement, elle a trouvé un rythme. Les nouvelles habitudes alimentaires sont devenues automatiques. Les recettes simples et rapides ont remplacé les plats compliqués. Finalement, elle ne met pas plus de temps à cuisiner qu’avant.
Le couple mis à l’épreuve
Trois ans de tensions
Le parcours de conception a créé énormément de tensions dans le couple. Pendant trois ans, le compagnon d’Elodie la voit malheureuse, obsédée, épuisée. Lui-même se sent délaissé, incompris.
Elodie reconnaît avoir négligé leur relation. Entre son fils, son travail, les obligations et le protocole intensif, il ne restait plus d’énergie pour le couple. « C’est une erreur », admet-elle aujourd’hui avec lucidité.
La crise du premier trimestre
Paradoxalement, lorsqu’Elodie tombe enceinte, le couple traverse sa plus grosse crise. Elle a tellement peur de perdre ce bébé qu’elle ne peut pas se réjouir pleinement. Son compagnon, lui, ne comprend pas : elle est enfin enceinte et elle n’est toujours pas heureuse ?
Ils consultent alors un thérapeute de couple. Progressivement, ils se réapprennent, se rééquilibrent avec cette nouvelle donnée. Aujourd’hui, leur relation va beaucoup mieux. Néanmoins, cette épreuve a laissé des traces.
L’importance des petites attentions
Elodie réalise qu’elle a oublié les petits gestes du quotidien. Un câlin spontané, une attention physique sans que cela aille plus loin. « C’est des petites choses qui ne prennent vraiment pas beaucoup de temps et qui aident énormément », reconnaît-elle.
Elle conseille donc aux couples en parcours de conception de ne pas négliger leur relation. Car finalement, le couple est la base pour concevoir un enfant ensemble.
Un an après : le bilan
Une grossesse pas toujours facile
La grossesse d’Elodie n’a pas été de tout repos. Cependant, elle ne pense pas que cela soit lié à ses problèmes antérieurs. Simplement, elle était fatiguée par ces trois années éprouvantes. Son corps avait besoin de récupérer.
Néanmoins, psychologiquement, c’est du pur bonheur. Elle attend sa petite fille avec émerveillement. Aujourd’hui, cette petite a un an et tout va bien.
Une transformation définitive
Pour Elodie, cette épreuve s’est transformée en bénédiction. Elle a appris à prendre soin d’elle d’une manière qu’elle n’avait jamais connue auparavant. Ainsi, elle ne compte pas revenir en arrière.
Elle continue de faire attention à son alimentation, d’écouter les signaux de son corps, de mettre du lien entre ses symptômes physiques et ses émotions. Cette conscience nouvelle est devenue une partie intégrante de sa vie.
« Avant, je laissais tout aller. Maintenant, je fais beaucoup attention. Ça me donne envie de continuer, voire de m’améliorer encore », confie-t-elle.
Pour aller plus loin
Les pépites d’Elodie
Si vous vous reconnaissez dans le parcours d’Elodie et souhaitez tomber enceinte naturellement, voici les ressources qui l’ont particulièrement aidée :
L’eau de Quinton (Biovie) : Elle la trouve ressourçante, réconfortante, surtout pendant les crises d’angoisse. Code promo : JEMECHOISI
Les oméga-3 : Chez Norsan (code promo : PR445) ou Nutripure (code promo : DUMONT10). Résultats spectaculaires sur les cheveux, la peau et l’énergie.
Les méditations de Joe Dispenza : Pour travailler sur la visualisation et le pouvoir de la pensée. Ses livres sont également très inspirants.
Le livre « Les Neuf Marches » : Un récit spirituel sur l’incarnation d’une âme qui donne beaucoup d’espoir.
Se faire accompagner
Le parcours d’Elodie démontre l’importance d’un accompagnement professionnel global. Une naturopathe pour le corps, une kinésiologue pour les émotions, éventuellement une ostéopathe ou un thérapeute de couple.
Certes, cela représente un investissement financier. Néanmoins, Elodie a fait le choix de mettre son budget dans sa santé pendant quelques mois. « Je me suis dit : je me sacrifie sur certaines choses et je mets le paquet », explique-elle.
Conclusion : le message d’espoir
L’histoire d’Elodie prouve qu’il est possible de tomber enceinte naturellement même après des années de galère, des opérations multiples et un diagnostic pessimiste. Cependant, cela demande du temps, de l’engagement et une approche holistique.
Son parcours nous rappelle que le corps humain est unique. Nous ne sommes pas des statistiques. Même avec 20% de chances, pourquoi ne pas être dans ces 20% ? Cette conviction, associée à un protocole complet et à un travail émotionnel profond, peut faire des miracles.
Finalement, Elodie nous offre un message puissant : « Tout est possible. Il faut vraiment y croire. Le corps est capable de se remettre en place, aussi par la pensée. »
Si vous êtes dans un parcours difficile pour concevoir, sachez qu’il existe d’autres voies que la médicalisation intensive. Certes, la PMA reste une option précieuse pour certaines situations. Néanmoins, se donner le temps de régénérer son corps globalement peut transformer non seulement votre fertilité, mais toute votre vie.
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